Trois semaines ont passées très vite, je me sens déjà chez moi et j'ai trouvé un emploi! Après avoir fait quinze jours de ce que j'appellerais du travail dure (bien que ce ne puisse pas sembler être le cas à quiconque regarde) en étudiant français dans les cafés le matin, faisant une tournée des bars le soir et être tout gentil avec des employeurs potentiels. Ma déclaration de mission était toujours à chercher un travail de serveur dans un bar – celui qui se spécialise en bière artisanale bien sûr – afin de m'intégrer dans la scène de bière, se faire des amis et des contacts professionnels pour ma société de conseil et évidemment gagner un salaire. Après quatre jours de formation à Le Saint Bock, je crois que j'ai décrochée le jack-pot. C'est un microbrasserie/bar qui sert une quantité inépuisable des bières expérimentales brasées sur place et importées de Québec et du monde. Le personnel est très patient et chaleureux; je ne suis pas sûr si j’aurais réagi aussi positivement à « un expert de bière qui parle français respectable » comme j’étais présenté sur le groupe Facebook. Elles sont aussi mignonnes ce qui n'est pas évidemment nécessaire mais c'est un bonus quand même…Les gérants sont cool, l'environnement de travail et les clients en plus sont presque exclusivement francophone et j'aurai la possibilité de travailler les festivals de bière au cours de l'été ce qui devrait me permettre semer les grains beaucoup avec des autres brasseries. Je m’engage à travailler l’été entier dans le rôle de « gérant de plancher » en vue de réexaminer quand le soleil disparaitra, quand j’espère gagner dans une certaine mesure via drink-quality.com! Pour être honnête, après juste quatre équipes de formation du service, les deux ou je parlais cinq heures consécutivement de français, je me sens fucking génial a propos de comment les choses s’annoncent si tôt.
Quelques observations de mon nouveau domicile : d'abord et pertinent au travail susmentionné, c'est impossible de ne constate pas la différence énorme en culture de service. Les serveurs ici gagnent un pourboire minimum de quinze pourcents sur chaque facture, souvent beaucoup plus. Ainsi, n'importe où j'ai visité j'ai été salué et assis avec un sourire, servis complètement et témoignée de nombreux exemples ou le personnel se dépasse pour moi et les autres clients. Hier, un gars de mon café habituel Lili & Oli a insisté que j'emprunte un livre de poésie pour apprendre en manière plus divers, et la fille que dirige ma gym n'a pas encore pris un cent lorsque je démarre mon compte bancaire, seulement basée sur la confiance. Ceci n'arriverait jamais dans la culture « ne ferez pas confiance à personne, suspectez tout le monde du mal » de Londres. En fait c'est assez difficile de vérifier si je suis très chanceux en rencontrant des individus excellents ou si tout cela est symptomatique d'une culture en meilleure santé. Tout le monde est payé plus et travail moins en général, alors c'est quelque peu un scénario de « la poule et de l'œuf » si on compare les deux villes. Est-ce que les serveurs sous-payés et surchargés de travail à Londres méritent de gagner salaire minimum et rien comme pourboire par conséquent du service terrible globale? Ou est-ce que les anglais ne laissent pas un pourboire à d'un manque de respect endémique et profondément enraciné pour une industrie qui est en réalité le moyen des vies sociales des Londoniens? J'ai de nombreux éditoriaux en moi sur la myriade de façons dans lequel le système au Royaume-Uni est cassé (attendez jusqu'à Brexit pour vraiment voir ce que va arriver quand la colonne vertébrale des travailleurs immigrés et peu apprécié est forcé à jeter l'éponge) mais ce n'est pas le moment. C'est toujours le moment, heureusement, de discuter de la bouffe et les boissons. On m'a rappelé par ma propre révérence de ma nouvelle ville que je suis devenu déséquilibré. Cependant, je viens de manger un sandwich scandaleusement farci au viande fumée, acheté a l'iconique Schwartz Deli (photo attachée) et franchement je suis au paradis. Les bagels, aussi, sont quelque chose d'une spécialité de Montréal. J'ai été recommandé deux ou trois « meilleurs bagel au Montréal » jusqu'à ce moment et mon expérience de St Viateur Bagel Shop était assez spécial. Entourés de fours rugissants et les sacs de farines empilé à six pieds, on m'a donné un sac en papier des bagues brulants et frais, a dit d'aller te faire foutre a dehors et hors du chemin. Je les ai appréciés sur un banc avec le Philadelphia...Réellement seulement être capable d'en commander une n'importe où comme plat d'accompagnement est incroyable. La zone de la ville d'où je n'ai pas s'écarter, le Plateau Mont Royal est similaire d'un East London français, dont Mile End équivaut à peu près Shoreditch (pour l'instant avec moins de cons) et ainsi le monde de café indépendant est fort. Voyez attaché seulement un exemple de l'art de rue abondant ce qu'on trouve là-bas. Beaucoup de Montréalers travaillent a distance, donc leur besoin de Wi-fi rapide et servi par une pléthore de cafés origine-unique-Guaté-ragueyenne-noix-et-abricots-montagnes-brumeuses-roti. Je n'ai vu aucun des « flat white » alors il faut conclure qu'il n'est pas un vrai style de café, idiots prétentieux anglais. Suite à mon article précèdent, je vois beaucoup d'expérimentation au monde de bière, mais sans la chute de la qualité ce qui l'accompagne souvent. J'accuserais les brasseries anglaises d'essayer de courir avant de pouvoir ramper, en fournissant quarante nouveaux styles et collabos conçu pour le 1% des geeks les plus hauts et les médias sociaux pendant leur première année, tous tandis que leur IPA principal explose des cannettes dans les caves autour du pays et goûte diffèrent chaque fois qu'on l'essai. Ici a l'inverse, on trouvera peut-être deux ou trois blondes populaires, à côté de dix à quinze curiosités de bonnes factures. Les bières brunes brassées avec du beurre d'arachide et framboise, les saisons de l'herbe de bison sentant fortement de la tarte aux pommes de McDonald's et en plus – grâce à la légalisation de l'année prochaine – un nombre croissant des exemples aromatisés avec de Cannabis (sans Cannabinoïdes) qui sentent quant à moi un peu du gingembre, du persil et l'anis faible. L’assemblage et le vieillissement en barrique sont très à la mode, et la rousse et un favori de la foule. Une brasserie éminente Dieu du Ciel! A reçu la Journée Péché Mortel pour que célébrer leur stout impérial phare en plus de dix variants, ce qui était un cadeau génial. Pour le moment, je suis très bien installé. L’incertitude qui est arrivée à cause d’un manque d’un emploi et maison est maintenant replacée par un inconfort plus agréable provoqué de mon besoin naturel à devenir super-impressionnant au boulot. Je suis confiant que comme normal si je travaille extrêmement dur (quelque chose avec qui je n’ai pas jamais mal) tout ce que j’espère va se produire. Merci à Astrid pour m’avoir prêté son appartement ces trois semaines dernières, je te rembourserai en amitié et en cuisine!
0 Comments
Leave a Reply. |
AuthorDavid Spoerry is a Certified Cicerone® and WSETL3 qualified wine student. However beer and wine focussed travel and socialising are his passion, and below are the records of his explorations Categories
All
Archives
November 2019
|