Alors, c’est maintenant sept jours depuis je suis arrivé a Montréal avec l’intention vague a m’intégrer – par force de personnalité et subtilement en démontrant mes connaissances de la bière – dans ce que j’ai entendu est vraiment un scène de bière artisanale fascinant et vibrant. Je suis content (ou plus précisément ravi et soulagé) a découvre que Montréal et effectivement une cité de bière merveilleuse. J’ai ressenti des nombreux petits moments (en addition de l’ampleur et qualité général des bières brassées de façon indépendant disponibles) qui ont démontré agréablement le niveau de compétition. Le deuxième bar que je suis entré par exemple a offert une sélection de treize bières de Pohjala de l’Estonie en plus de 31 produits brasés en site ou Québécois. Le sixième a proposé à la carte une sélection de quatre fromages complétés par quatre bières ou un « plateau dégustation » au même pris que seulement deux fromages et aucun de bières à Londres. Finalement, j’ai une poche qui déborde des morceaux de papier plein de suggestions des bars, activités, chansons et amis cherchant un colocataire, grâce a chaque serveur charmant que j’ai rencontré, fervent à aider un seul voyageur anglais. En fait, lorsque je cherche un emploi et une chambre dans un voisinage idyllique, j’ai gouté et bavardé maladroitement à travers de douze bars ou microbrasseries et en outre un « dépanneur » (le réponse Québécois d’un ‘corner shop’) vachement plein de bières délicieux. Tous avaient un minimum de dix bières brassées sur site, et les personnels complètement entrainé et enthousiaste à les vendre. J’ai découvert ça quand les serveurs de deux bars diffèrent avec obligeance ont produit leurs notes de dégustation du maison – normalement réservé pour les serveurs – pour améliorer mon vocabulaire de la bière bilingue. Cela a été un génie brise-glace : « excusez-moi, est-ce que celui-ci le bon mot pour ‘désaltérant’? ».
Tous ces lieus ont varié en ce qui concerne l’ambiance – du traditionnel au branché – et celui-ci est naturellement une bonne chose; l’uniformité n’est quasiment jamais bénéfique. Certains présentent une sensibilité artistique des années quatre-vingt-dix, alors que les autres semblent d’avoir commencé avec les badges et les emballages, en travaillant en arrière a partir de là. Certains jouent la musique ultra-cool de Lo-fi Jazz-hop (ce que ma sœur appellerait la musique de l’ascenseur) pendant qu’un autre a beuglé les anciens enregistrements des Beatles, et en ce moment-là Le Saint Bock fait un bœuf aux tracks RnB des années 2000. Certains abordent les meubles de cuivre brillant, des autres du bois de l’aspect vieilli et des autres toujours du plastique facile a essuyer. Cependant, je me concerne plus des points communs – ce qui peut être dit pour la scène entière. Alors que je regarde autour de moi, je constate un groupe des filles qui portent des pulls verts tout juste parti d’une parada de St Patrick, un couple sexagénaire, quelques laptop-jockeys et un habitué qui tient le crachoir d’une serveuse patiente en accent Québécois trop fort que je ne comprends pas encore. Pour les anglais il faut imaginer l’accent plus fort d’un Irlandais or Écossais, mais en parlant ma deuxième langue. Tout le monde boit la bière! Je ne veux pas généraliser, mais si j’étais à Londres a ce moment la ces gens nageraient au vin rosé provençale et des ‘Skinny G&Ts’. Je n’ai pas aucun problème avec ça, en fait vendredi j’ai bu un gin français exquis chez une fille chinoise très accueillant. Ce qui me rend consterné c’est la certitude avec que comme serveur je peux presque sans erreur prévoir les choix de ces gens; un phénomène qui n’existe jusqu’ici à Montréal. Dans la mesure que comme Millénaire je sens que je dois avoir une raison d’être professionnellement, je dirais que le mien c’est d’aider des gens qui prétendent qu’ils adorent manger et boire à élargir leurs horizons et être sensibles aux boissons et combinaisons des saveurs nouveaux. Vrai, on pourrait dire que si je chasse les convertis certainement je serais mieux en travaillant au monde de Pinot Grigio et Aperol Spritz ou j’ai commencé…comment peux-je gagner en prêchant aux convertis? En fait c’est trop tôt à dire, et après juste une semaine je suis simplement aux anges de flâner (ou faire marche sportive lorsqu’il fait -10oC) entre les bars dont les robinets, les employés et les clients satisfont ma soif de saveur, conversation sympa et Hip-Hop.
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AuthorDavid Spoerry is a Certified Cicerone® and WSETL3 qualified wine student. However beer and wine focussed travel and socialising are his passion, and below are the records of his explorations Categories
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November 2019
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